Serge Lutens lorsqu'il parle du cèdre et de Féminité du Bois frappe par son intensité ainsi que par la profondeur de sa vision intérieure qui semblerait presque devoir se passer de mots. La parole trébuche un peu, l'idée se précise cependant: le cèdre, le bois lutensien par excellence, fut traîné un jour devant le tribunal de grande instance des idées et du coeur afin d'exprimer tout son sens possible. Pour commencer, dans Féminité du Bois en 1993 (1ère année du lancement mondial) et ensuite dans ces longs échos boisés qui perdurent dans les parfums d'un artiste obsessif revenant aujourd'hui vers une sensation originelle, la matrice de l'oeuvre à venir. Que peut-il en dire aujourd'hui?...
Interviews: mars 2009 Archives
Serge Lutens lorsqu'il parle du cèdre et de Féminité du Bois frappe par son intensité ainsi que par la profondeur de sa vision intérieure qui semblerait presque devoir se passer de mots. La parole trébuche un peu, l'idée se précise cependant: le cèdre, le bois lutensien par excellence, fut traîné un jour devant le tribunal de grande instance des idées et du coeur afin d'exprimer tout son sens possible. Pour commencer, dans Féminité du Bois en 1993 (1ère année du lancement mondial) et ensuite dans ces longs échos boisés qui perdurent dans les parfums d'un artiste obsessif revenant aujourd'hui vers une sensation originelle, la matrice de l'oeuvre à venir. Que peut-il en dire aujourd'hui?...